Vox Romana enchante

Publié le par mairie d'Echenoz-la-Méline

Durant la première partie, le « petit chœur » qui inter­prète « Je viens du sud » de Michel Sardou.

Durant la première partie, le « petit chœur » qui inter­prète « Je viens du sud » de Michel Sardou.

Jacqueline et Alain Huget, des amateurs de musique classique et des admira­teurs de Vox Romana.

Jacqueline et Alain Huget, des amateurs de musique classique et des admira­teurs de Vox Romana.

Martine Bolmont, membre du Foyer d'Animations et de Loisirs d'Echenoz-la-Méline, est à l'ori­gine de la venue de la chorale nommée « Vox Romana ». Pendant une heure trente, sa­medi, la nef de l'église remplie aux trois-quarts s'est délectée à l'écoute de la chorale, sous la di­rection du chef de chœur André Jacquin. 
Vox Romana est implantée à Maizière depuis maintenant trente-trois ans. 
La chorale est composée de vingt choristes qui se déplacent sept à huit fois dans l'année au rythme des invitations des asso­ciations : en Haute-Saône bien sûr, mais aussi en Haute-Marne, en Côte d'Or ou dans le Haut Doubs. 
André Jacquin, anciennement instituteur et conseiller pédago­gique en éducation musicale, est à l'origine du dispositif« École qui chante » mis en place dans le département en 1988 et sou­tenu aujourd'hui par la structure départementale Culture 70. « Le but est de promouvoir l'éduca­tion musicale et le chant parti­culièrement à travers la constitu­tion de chorales dans les écoles. Cela concerne plus de 1.200 enfants encore aujourd'hui », précise-t-il. 
« C'est un répertoire très compli­qué que nous interprétons avec des chants sacrés et d'autres de la Renaissance, avec un répertoire d'œuvres à quatre voix par­fois. Généralement, c'est pour un public averti mais pour le plaisir de tous, nous interprétons aussi des chants modernes », poursuit André Jacquin. Ce fut le cas avec Jacques Dutronc, Mi­chel Sardou, Alain Souchon ou encore Laurent Voulzy. 
Ce répertoire a enchanté Jac­queline et Alain Huget : « Nous connaissons Vox Romana et nous les suivons lorsqu'ils se produisent dans les environs, nous les avions déjà vus au prieuré de Marast. Ce que nous aimons, c'est ce mélange de mu­siques sacrée et moderne, c'est un vrai plaisir que de les écouter ici». 

La Presse de Vesoul du 18/0/23

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