Les Terrasses de la Méline : huit parcelles en vente

Publié le par mairie d'Echenoz-la-Méline

Les terrains disponibles vont d’une superficie de 889 m² à 1 056 m², pour 35 € le m 2.  Photo ER

Les terrains disponibles vont d’une superficie de 889 m² à 1 056 m², pour 35 € le m 2. Photo ER

En 2022, 124 certificats d’urbanisme et un permis d’aménager ont été accordés à Échenoz-la-Méline mais seulement 21 permis de construire et 47 déclarations préalables. « Ce ne sont pas moins de 102 déclarations d’intention d’aliéner qui ont été signées », indiquait Serge Vieille lors des vœux. Le lo­tissement Les Craies, comprenant neuf parcelles pour l’accession à la propriété, sous la maîtrise d’ouvrage d’Habitat 70, affiche complet. Un nouveau lotissement chemin de Presles, dans le prolongement de la rue des Onchets, est en gestation, s’ajoutant à un projet privé rue Joseph-Rouget de quelques habitations.

Et Les Terrasses de la Méline ?

Pour le lotissement Les Terrasses de la Méline, huit parcelles sont encore disponibles à la vente. Viabilisé fin 2008, ce lotissement communal situé rue de Gefell, au départ d’une trentaine de parcelles, n’est toujours pas au complet en ce début d’année 2023. Implanté à quelques encablures du site de Solborde et de la Roche des 12 Apôtres, il est proche de toutes commodités, au calme, à deux minutes de Vesoul.

En pente

David Lethier, conseiller commercial chez Maisons Optimal à Valdahon commercialise les huit parcelles : « En 2022, deux terrains ont été vendus et nous avons déposé un permis de construire cette année. Les terrains restants vont d’une superficie de 889 m² à 1 056 m² ». Avec un prix attractif de 35 € le m² viabilisé. « Ce sont des terrains en pente qui demande un terrassement important pour des maisons de plain-pied avec sous-sol. »

La nouvelle réglementation thermique et environnementale impose aussi des règles strictes pour la filière construction : « Dans nos avant-projets, en tenant compte de l’ensoleillement, nous n’allons pas mettre une pièce de vie côté nord », rassure M. Lethier. Alors que le marché de la construction neuve souffre depuis 3 mois avec le taux d’usure qui correspond au taux maximum auquel un prêt peut être accordé, le professionnel se montre résolument optimiste pour l’avenir.

Est Républicain 02/02/23

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